RIP Hommage a Max Romeo, réécoutez un de ces live concerts
Max Romeo et son War in Babylon, c’est une histoire de post-adolescence. J’avais autour de 25 ans quand j’ai découvert cet album. Avec ceux de Burning Spear et d’autres légendes du reggae, il a profondément marqué cette période de ma vie.
War in Babylon, pour moi, c’est plus qu’un album : c’est un souvenir presque mystique — un Graal, une pépite. Je l’ai découvert dans les années 90, bien après sa sortie dans les années 70, mais son impact a été immense. Certains artistes traversent le temps et vous accompagnent tout au long de la vie. Max Romeo fait partie de ceux-là.
Peace, bon voyage Max.
On continue de t’écouter, de vibrer, de kiffer.
Big up au paradis des rasta.
Qui était Max Romeo ?
Né Maxwell Livingston Smith le 22 novembre 1944 à Saint Ann, en Jamaïque, Max Romeo est l’une des figures emblématiques du reggae roots. Il se fait d'abord connaître dans les années 1960 avec le morceau provocateur Wet Dream, qui lui vaut autant de succès que de controverses. Mais c’est dans les années 70, aux côtés du producteur Lee "Scratch" Perry, que sa carrière prend une tournure plus engagée et spirituelle.
En 1976, il sort War in Babylon, un album phare du reggae conscient, où se mêlent critique sociale, spiritualité rasta et poésie militante. Ce chef-d'œuvre, marqué par des titres comme Chase the Devil (repris ou samplé plus tard par The Prodigy ou Jay-Z), reste un classique intemporel du genre.
Tout au long de sa carrière, Max Romeo a su rester fidèle à ses racines, livrant des albums puissants et sincères, et collaborant avec des géants du reggae comme The Upsetters, Junior Murvin ou encore son propre fils, le chanteur Azizzi Romeo.
Après plus de 50 ans de musique, Max Romeo s’est éteint en 2025, laissant derrière lui une œuvre vibrante et une influence immense sur la scène reggae mondiale.
Max Romeo et son War in Babylon, c’est une histoire de post-adolescence. J’avais autour de 25 ans quand j’ai découvert cet album. Avec ceux de Burning Spear et d’autres légendes du reggae, il a profondément marqué cette période de ma vie.
War in Babylon, pour moi, c’est plus qu’un album : c’est un souvenir presque mystique — un Graal, une pépite. Je l’ai découvert dans les années 90, bien après sa sortie dans les années 70, mais son impact a été immense. Certains artistes traversent le temps et vous accompagnent tout au long de la vie. Max Romeo fait partie de ceux-là.
Peace, bon voyage Max.
On continue de t’écouter, de vibrer, de kiffer.
Big up au paradis des rasta.
Qui était Max Romeo ?
Né Maxwell Livingston Smith le 22 novembre 1944 à Saint Ann, en Jamaïque, Max Romeo est l’une des figures emblématiques du reggae roots. Il se fait d'abord connaître dans les années 1960 avec le morceau provocateur Wet Dream, qui lui vaut autant de succès que de controverses. Mais c’est dans les années 70, aux côtés du producteur Lee "Scratch" Perry, que sa carrière prend une tournure plus engagée et spirituelle.
En 1976, il sort War in Babylon, un album phare du reggae conscient, où se mêlent critique sociale, spiritualité rasta et poésie militante. Ce chef-d'œuvre, marqué par des titres comme Chase the Devil (repris ou samplé plus tard par The Prodigy ou Jay-Z), reste un classique intemporel du genre.
Tout au long de sa carrière, Max Romeo a su rester fidèle à ses racines, livrant des albums puissants et sincères, et collaborant avec des géants du reggae comme The Upsetters, Junior Murvin ou encore son propre fils, le chanteur Azizzi Romeo.
Après plus de 50 ans de musique, Max Romeo s’est éteint en 2025, laissant derrière lui une œuvre vibrante et une influence immense sur la scène reggae mondiale.
Par : admin le : 2025-04-13 22:20:57